Ismail, en Syrie, avec sa maman et son frère sur le chemin de l'école
Ismail, en Syrie, avec sa maman et son frère sur le chemin de l'école

Une lueur d’espoir en pleine guerre

Aidez-nous à améliorer la vie des enfants et de leurs familles victimes de la guerre

Offrons une lueur d'espoir aux personnes en détresse

Les guerres sont dévastatrices. Les guerres anéantissent des vies humaines. Les guerres détruisent les foyers et les terres. Les guerres plongent des millions de personnes dans l’obscurité. Jour après jour, les gros titres nous laissent sans voix. Seuls, nous sommes impuissants, mais ensemble, nous pouvons aider des victimes innocentes. Ensemble, offrons des lueurs d'espoir.

Notre directeur Peter Lack s'est récemment rendu au Proche-Orient et nous parle de son voyage en vidéo.

Les contes sont également un réconfort en temps de guerre

Dans le quotidien de la guerre, les contes sont un précieux refuge. Les enfants peuvent plonger dans un monde imaginaire et tout oublier autour d’eux. Les contes sont racontés partout dans le monde – et nous en avons rassemblé quelques-uns pour vous dans les pays où nous menons des projets. Commandez gratuitement le livre de contes numérique de Caritas.

Nous n’avons aucun moyen d’influencer le cours de la guerre dans des pays comme l'Ukraine, la Syrie ou le Soudan. Mais ensemble, nous pouvons faire face à ces événements avec courage. Offrons un moment d'espoir aux familles victimes de la guerre, afin de soulager leurs plus grandes souffrances et d'améliorer un peu leur existence.

Grâce à votre soutien, nous pouvons par exemple apporter un soutien psychologique aux enfants traumatisés, fournir un accès aux soins médicaux de base ou aider les femmes dans des pays en guerre à devenir indépendantes.

Offrons une lueur d'espoir aux personnes en détresse
Nous protégeons vos données.

Voici comment nous soutenons les enfants et leurs familles

Il est possible d'apporter une lueur d'espoir dans un quotidien pesant et dangereux en temps de guerre. Nous fournissons des biens de première nécessité, mais nous offrons aussi des espaces protégés et des lieux de rencontre qui donnent la force de continuer.

C’est le cas par exemple pour Nazar, en Ukraine. Il peut participer avec son frère à des après-midis jeux et bricolages dans des locaux protégés de Caritas Spes et oublier pour un temps les horreurs de la guerre. Ou pour Ismail, en Syrie, qui peut continuer à aller à l'école parce que sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à l'aide de Caritas.

Aidez-nous par votre don à continuer à apporter une lueur d’espoir pour Ismail, Arosula, Nazar et d'autres enfants. Merci de tout coeur!
  • Avec 70 francs, vous contribuez au soutien psychologique d'enfants traumatisés. Par exemple, dans le centre pour enfants du camp de Gorom à Djouba, au Soudan du Sud, les enfants peuvent s'adresser à une conseillère psychosociale pour lui faire part de leurs préoccupations.
  • Avec 100 francs, vous soutenez l'accès aux soins médicaux de base. Par exemple, nous prenons en charge une partie des coûts pour un traitement vital ou offrons un soutien en espèces pour les médicaments.
  • Avec 150 francs, vous aidez des femmes dans des pays en guerre à devenir indépendantes. En Syrie, par exemple, nous aidons des adultes à ouvrir leur propre salon de coiffure ou petit commerce en leur proposant des cours et un capital de départ.
Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser.
Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser. © Kenyi Moses
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Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas.
Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas. © Hasan Belal
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Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail.
Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail. © Alyona Kovtunovych und Lada Maznytska
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Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser.
Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser. © Kenyi Moses
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Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas.
Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas. © Hasan Belal
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Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail.
Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail. © Alyona Kovtunovych und Lada Maznytska
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Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser.
Aujourd'hui, Arosula peut à nouveau rire de bon cœur. Elle s’est fait de nouveaux amis dans le centre Caritas, qui accueille les enfants. Ils passent leur temps à jouer, à peindre et à danser. © Kenyi Moses
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Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas.
Ismail peut continuer d’aller à l’école, car sa mère peut désormais exercer son métier de coiffeuse indépendante grâce à Caritas. © Hasan Belal
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Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail.
Nazar adore peindre et est toujours pleinement concentré sur son travail. © Alyona Kovtunovych und Lada Maznytska
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Photo de couverture: Ismail, en Syrie, avec sa maman et son frère sur le chemin de l'école © Hasan Belal